Avant d’aller plus loin, je te file une ressource que j’aime bien pour creuser le sujet, côté optimisations et culture tech : [https://referencement-bouger.info](https://referencement-bouger.info). L’article du jour reste 100 % pratique, mais ce lien te servira de base pour prolonger le chantier quand tu auras remis ta machine d’équerre. Deal ?

1. Désactive ce qui te ralentit au démarrage

C’est fou le nombre de programmes qui se lancent quand Windows démarre, sans jamais te demander ton avis. Spotify, Discord, Adobe, Steam, OneDrive… tout ce petit monde veut sa place au démarrage, et ton PC trinque.
Tape simplement msconfig (ou ouvre le Gestionnaire des tâches > Démarrage) et coupe ce qui n’est pas vital.
Perso, j’ai gardé l’antivirus et les pilotes essentiels. Résultat : démarrage divisé par deux, sans exagérer.

2. Nettoie ton système (mais proprement)

Les fichiers temporaires, caches, logs, restes de mises à jour… ça s’accumule plus vite qu’on ne croit.
Utilise un outil comme BleachBit ou CCleaner (en mode manuel, hein, évite les “optimisations” automatiques un peu bourrines).
Pense aussi au Nettoyage de disque intégré à Windows : coche tout ce qui est safe (fichiers temporaires, Miniatures, etc.) et vas-y franco.

3. Mets à jour Windows et tes pilotes

Oui, c’est pas fun, mais ça corrige des bugs de perf.
Pilotes GPU, chipset, stockage : passe par les sites constructeurs ou Windows Update.
Évite les “drivers magiques” de sources douteuses. Ça marche parfois… jusqu’au jour où ça casse.

4. Allège les effets visuels

Windows adore les petites animations et les ombres qui glissent. C’est joli, mais ça grignote des ressources.
Va dans Paramètres système > Paramètres avancés > Performances et coche “Ajuster afin d’obtenir les meilleures performances”.
Ton bureau fera un peu plus “roots”, mais la réactivité gagne direct. Qui regarde les ombres des fenêtres, honnêtement ?

5. Surveille ce qui tourne en arrière-plan

Ouvre le Gestionnaire des tâches (Ctrl + Shift + Échap) et trie par CPU, Mémoire, Disque.
Un navigateur avec 25 onglets (dont trois vidéos muettes) ? Classique.
Si un processus te semble louche, tape son nom tel quel dans un moteur de recherche pour vérifier. Ça m’a déjà évité un beau nid à pubs.

6. Fais le tri dans tes applis et fichiers

Le logiciel “à tester vite fait” de 2021 est encore là. Et parfois il ajoute un service de fond bien discret.
Désinstalle sans pitié ce que tu n’utilises pas.
Côté fichiers, vide “Téléchargements” et ton Bureau (oui, le Bureau plein d’icônes ralentit un chouïa l’affichage).
Un PC, c’est comme une valise : plus c’est plein, plus c’est lent à traîner.

7. Active le mode Performances élevées

Dans Options d’alimentation, choisis “Performances élevées”.
Sur portable, l’autonomie en prend un petit coup, mais si tu bosses branché, c’est tout bénéf.
Le CPU arrête de roupiller en pleine compile ou pendant l’export vidéo, et tu sens la différence.

8. Défragmente si (et seulement si) tu as un HDD

Sur HDD : un petit defrag périodique aide vraiment.
Sur SSD : pas de défragmentation. Laisse le système gérer la commande TRIM, point.
Vérifie dans Optimiser les lecteurs quel type de disque tu as si tu doutes.

9. Programme un redémarrage régulier

Ça paraît bête, mais beaucoup ne redémarrent jamais.
Un redémarrage vide la RAM, stoppe les services zombies et remet d’équerre des trucs qui s’étaient emmêlés.
Comme une bonne nuit de sommeil : simple et efficace.

Check-list express (à faire ce soir, promis)

• Couper les apps au démarrage • Nettoyer caches et temporaires • Mettre à jour Windows + pilotes • Passer en mode performances • Vérifier les processus gourmands • Désinstaller le superflu • Redémarrer

Conclusion

Pas besoin de changer de matos pour sentir ton PC repartir. Avec quelques réglages malins et 30–40 minutes de ménage, tu récupères une machine plus vive, plus nette, plus agréable à utiliser. Et si tu veux pousser plus loin (scripts, automatisations, bonnes pratiques), garde le lien plus haut sous la main ; perso je m’y replonge dès que j’ai un doute. Alors, on lui redonne un coup de boost, à ce PC ?

Perso, j’ai testé plusieurs méthodes avant d’en trouver qui fonctionnent vraiment. Et si tu veux aller plus loin, je te conseille d’aller jeter un œil à [https://craponne-informatique.com](https://craponne-informatique.com) : ils ont de bons conseils pratiques, surtout si tu veux éviter les erreurs classiques quand tu bidouilles ton système.

1. Nettoyer ce qui ralentit ton PC (et il y en a…)

Tu serais surpris du nombre de fichiers inutiles qui s’accumulent en douce. Cache du navigateur, fichiers temporaires, restes de vieilles installations… tout ça pèse lourd.
Utilise un outil comme **CCleaner**, **BleachBit** ou même l’outil intégré de Windows (*Nettoyage de disque*). En quelques minutes, tu libères parfois plusieurs gigas. C’est un peu comme vider ton sac à dos avant une rando : tout devient plus léger.

2. Désactiver les programmes qui se lancent au démarrage

Tu sais, ces applis qui se lancent toutes seules quand tu allumes ton PC ? C’est le mal. Spotify, Discord, Adobe, tout le monde veut démarrer en même temps. Résultat : ton ordi met trois plombes à être opérationnel.
Un petit tour dans le **Gestionnaire des tâches > Démarrage** et tu décoches ce qui ne sert pas à chaque allumage. Tu verras la différence dès le prochain reboot.

3. Mettre à jour ses pilotes (vraiment)

C’est souvent négligé, mais les pilotes (surtout ceux de la carte graphique et du chipset) peuvent ralentir ton système s’ils sont obsolètes. Va sur le site du constructeur ou passe par **Windows Update**.
Perso, j’ai gagné presque 15 % de perf juste en mettant à jour le pilote GPU sur un vieux laptop. Comme quoi, ça vaut le coup de le faire de temps en temps.

4. Passer au SSD si ce n’est pas déjà fait

Si tu es encore sur un disque dur mécanique (HDD), arrête tout. Le passage à un **SSD** est probablement le meilleur investissement que tu puisses faire. Démarrage de Windows en moins de 15 secondes, applis qui s’ouvrent instantanément… c’est un autre monde.
Les prix ont bien baissé : un SSD de 500 Go, c’est autour de 40 à 50 €. Franchement, le rapport gain/prix est imbattable.

5. Alléger Windows sans le casser

Windows adore se charger de petites fonctions « invisibles » mais lourdes. Quelques réglages rapides peuvent faire la différence :

• Désactive les effets visuels inutiles (transparences, animations, etc.)
• Supprime les applis préinstallées qui ne servent jamais
• Coupe les services de fond que tu n’utilises pas (OneDrive, Xbox, etc.)

Ça ne rendra pas ton PC magique, mais tu sentiras qu’il respire mieux.

6. Faire un check complet des logiciels et extensions

Tu ouvres ton navigateur et tu as quinze extensions actives ? Supprime celles que tu n’utilises pas. Pareil pour les applis installées « pour tester » et jamais désinstallées.
Chaque petit truc lancé en fond grignote des ressources. Et parfois, le simple fait de désinstaller un logiciel mal optimisé suffit à faire la différence.

7. Optimiser la mémoire et le stockage

Un petit coup d’œil à la **RAM** ne fait jamais de mal. Si ton PC a moins de 8 Go, il va peiner avec plusieurs applis ouvertes.
Et côté stockage, essaie de toujours garder au moins 15 % d’espace libre sur ton disque principal : Windows en a besoin pour respirer.

8. En dernier recours : réparer sans réinstaller

Si vraiment ton PC reste lent, il existe une solution intermédiaire : la **réinitialisation de Windows sans perte de données**.
Tu repars sur une base propre, sans devoir tout réinstaller à la main. C’est souvent suffisant pour effacer les petits bugs qui plombent les performances.

En résumé

Booster son PC sans tout réinstaller, c’est souvent une histoire d’entretien et de petits réglages malins. Un nettoyage régulier, quelques mises à jour bien placées et un peu de bon sens, et ton ordi retrouve une seconde jeunesse.
Pas besoin d’être technicien pour le faire : il suffit d’y aller pas à pas… et d’éviter de tout casser au passage.

Avant tout, il faut choisir votre distribution. C’est comme choisir une voiture : certains veulent une sportive, d’autres une familiale. Pour débuter, je conseille souvent Ubuntu ou Linux Mint. Pourquoi ? Parce que tout est pensé pour que ça marche directement. Pas besoin de passer trois nuits blanches à chercher un pilote graphique planqué dans un forum obscur. Si vous voulez un coup de main pour trouver la bonne version ou avoir des infos claires, jetez un œil à https://agneaux-informatique.fr, c’est plein de ressources pratiques.

Préparer l’installation

OK, on attaque. Téléchargez l’image ISO de votre distribution (sur le site officiel, pas ailleurs). Ensuite, il vous faut une clé USB d’au moins 8 Go. Perso, j’utilise Balena Etcher pour “flasher” l’ISO sur la clé. Trois clics, un café, et c’est prêt.

Astuce : si vous hésitez à tout effacer sur votre PC, optez pour le “dual boot” avec Windows. Ça vous permet de tester Linux tranquillement, sans brûler tous les ponts derrière vous.

L’installation pas à pas

Redémarrez votre ordinateur en bootant sur la clé USB (souvent il faut appuyer sur F12 ou Échap au démarrage, selon le constructeur). Là, surprise : vous pouvez tester Linux sans rien installer, juste pour voir. C’est comme essayer un vélo avant de l’acheter.

Si vous validez, cliquez sur “Installer”. Suivez les étapes : langue, clavier, connexion internet… puis le gros choix : installer à côté de Windows (dual boot) ou remplacer complètement le système.

Petit conseil : créez un compte avec un mot de passe solide mais pas trop casse-tête, vous allez le taper souvent.

La configuration de base

Premier démarrage sous Linux… et là, magie : tout est fluide, rapide, sans pubs ni antivirus qui clignotent. Installez vos applis préférées via la logithèque intégrée. Firefox, LibreOffice, VLC… tout est déjà prêt.

Un truc que je fais toujours : mettre à jour le système immédiatement. Sur Ubuntu, c’est juste “Paramètres → Mises à jour”. En 10 minutes, vous êtes à jour.

Et après ?

C’est là que le fun commence. Vous pouvez personnaliser l’interface, tester d’autres environnements (GNOME, KDE…), apprendre quelques commandes terminal (rien de sorcier, promis).

Et si un truc bloque ? La communauté Linux est ultra réactive. Tapez votre question dans un moteur de recherche, et vous trouverez sûrement un forum ou une doc qui répond précisément à votre souci.

Conclusion

Installer Linux, c’est un peu comme changer de ville : au début, on est perdu, mais très vite, on découvre des coins qu’on adore et on se demande pourquoi on ne l’a pas fait plus tôt. Alors, prêt à franchir le pas ?

Alors oui, si après ça ton PC reste désespérément muet, là tu peux envisager de faire appel à un professionnel. Et si t’es dans le coin de Toulouse ou autour, je te recommande de jeter un œil à https://depannage-informatique-31.com : c’est du sérieux, ils bossent proprement, et ils peuvent même se déplacer.

1. Vérifie que c’est pas juste… la prise

Ça a l’air bête, mais crois-moi, ça arrive plus souvent qu’on pense. Un câble mal enfoncé, une multiprise qui a sauté, une rallonge grillée : on peut vite passer à côté. Branche ton PC directement à une prise murale (évite les multiprises au départ), et regarde s’il y a des signes de vie. Genre des LED, un bruit, un p’tit ventilateur qui se lance.

2. Regarde l’écran, pas juste le PC

Tu crois que le PC est mort… alors que c’est l’écran qui fait la sieste. Vérifie que l’écran est bien allumé, que le câble HDMI (ou VGA, ou DisplayPort, bref) est bien connecté des deux côtés. Essaie même un autre câble si tu peux. Ah et active la bonne source sur l’écran : parfois il est juste sur “HDMI 2” alors que t’es branché sur “HDMI 1”.

3. Écoute ce que le PC essaie de te dire

Certains ordis, surtout les fixes, émettent des *bips* au démarrage. Et ces bips, c’est pas juste pour t’énerver : ils veulent dire quelque chose. Genre un *bip long + deux bips courts*, ça peut signaler un problème de carte graphique. Si t’as jamais entendu parler du “code POST”, c’est le moment de googler ça.

4. Débranche tout ce qui n’est pas essentiel

Clé USB, disque dur externe, imprimante, casque VR, chargeur de téléphone… enlève tout. Il suffit qu’un périphérique plante le démarrage pour que le PC refuse de booter. Garde juste la souris, le clavier, et l’écran. Relance. Et regarde ce qui se passe.

5. Essaie un redémarrage à froid

Maintiens le bouton d’alimentation appuyé pendant 10 à 15 secondes. Ça coupe tout ce qui traîne en mémoire. Attends 10 secondes, rallume. Ça m’est arrivé sur un laptop Lenovo qui refusait de s’allumer après une mise à jour : un simple redémarrage à froid et il est reparti comme si de rien n’était.

6. Ouvre le capot (si tu te sens)

Si t’es un peu bricoleur·se, tu peux ouvrir le boîtier (ou la trappe pour un portable) et vérifier deux-trois trucs : la RAM bien enclenchée, les câbles d’alim bien enfoncés, la poussière (parfois c’est un nid à l’intérieur, j’te jure). Attention à l’électricité statique hein, touche un radiateur ou une surface métallique avant de mettre les mains dedans.

Et si rien ne marche ?

Bah là, faut pas insister à l’aveugle. Si le PC ne donne vraiment aucun signe de vie après tout ça (pas de LED, pas de ventilo, pas de bruit), y’a des chances que ce soit l’alim, la carte mère ou un composant plus costaud. Et dans ce cas, mieux vaut passer par un pro.

Conclusion

Un PC qui ne démarre pas, c’est flippant… mais pas toujours grave. Souvent, c’est juste un détail qui bloque. Avec un peu de méthode et les bons réflexes, tu peux éviter une facture inutile. Et si ça bloque vraiment, au moins tu sauras que t’as tout tenté avant de confier ta machine à un expert. Ce qui, entre nous, est déjà un gros pas de gagné.

Pourquoi ajouter un deuxième écran ?

Franchement, une fois que t’as goûté au double écran, c’est dur de revenir en arrière. Perso, j’ai commencé par recycler un vieil écran 22 pouces que j’avais au fond d’un placard. Depuis, j’ai Outlook d’un côté et Chrome de l’autre, et mon cerveau me dit merci.

C’est utile pour :

• Travailler plus efficacement (surtout en bureautique, dev, montage, etc.)
• Jouer et garder un œil sur Twitch ou Discord
• Faire du multi-tâche sans galérer à jongler avec Alt+Tab toutes les 30 secondes

Bref, si tu veux gagner du confort, c’est une upgrade simple et vraiment efficace.

Est-ce que ton PC peut gérer deux écrans ?

Avant de foncer acheter un deuxième écran, vérifie que ton PC a les bonnes sorties.

Carte graphique dédiée ? Tu devrais avoir au moins deux ports (HDMI, DisplayPort, DVI, parfois même VGA sur les vieilles configs).

PC portable ? Souvent un port HDMI, parfois USB-C ou DisplayPort. Et si t’as un dock USB-C, t’es tranquille.

Carte mère sans GPU dédié ? Ça dépend du processeur. Si t’as un Intel avec puce graphique intégrée, ça peut suffire, mais ne t’attends pas à du 144Hz en 4K.

Astuce : si t’as deux ports mais pas les bons câbles/adaptateurs, pense à un switch HDMI ou un convertisseur DisplayPort vers HDMI.

Quel câble utiliser ?

HDMI, DisplayPort, DVI, VGA… la jungle. Voilà un résumé simple :

• HDMI : le plus courant. Suffit pour du 1080p à 60Hz, voire plus si câble récent.
• DisplayPort : mieux pour les hautes résolutions ou taux de rafraîchissement élevés.
• DVI : un peu dépassé mais encore ok pour du 1080p.
• VGA : à éviter si possible. C’est flou, c’est vieux, et ça t’abîme les yeux.

Perso, j’utilise un câble HDMI 2.0 pour mon écran principal en 1440p, et un vieux DVI pour le second en 1080p. Ça tourne bien, et j’ai rien eu à racheter.

Configurer le deuxième écran sous Windows

Une fois branché, Windows devrait détecter ton nouvel écran automatiquement. Si rien ne s’affiche, fais un clic droit sur le bureau → « Paramètres d’affichage ».

Tu peux :

• Étendre ton bureau (option la plus utile)
• Dupliquer l’affichage (si t’as besoin d’une copie exacte sur les deux écrans)
• Choisir quel écran est principal

Petit conseil : place physiquement tes écrans comme tu les configures dans Windows. Sinon, ta souris se perd entre deux mondes parallèles.

Et les performances, ça change quoi ?

Bonne nouvelle : afficher un deuxième écran pour de la bureautique ou du surf n’a quasi aucun impact sur les performances de ton PC. Même pour le gaming, tant que le jeu tourne sur l’écran principal, y’a peu de pertes.

Je joue à Cyberpunk sur l’écran 1, Twitch en 1080p sur l’écran 2, aucun souci (RTX 3060, pour info).

Mais si tu balances une vidéo 4K en streaming + un gros jeu + 15 onglets Chrome, là oui, ta machine va le sentir. Faut pas rêver non plus.

Erreurs à éviter

• Utiliser deux écrans avec des résolutions très différentes : c’est gérable, mais pas toujours confortable visuellement.
• Brancher les deux écrans sur la carte mère au lieu de la carte graphique (si t’en as une) → perte de perf possible.
• Choisir un écran inutilement haut de gamme pour un usage secondaire : un bon vieux 1080p fait le taf pour Discord ou Spotify.

Conclusion

Installer un deuxième écran, c’est pas sorcier. Et franchement, une fois que t’as testé, c’est dur de revenir en arrière. Que ce soit pour le boulot, le jeu ou le confort visuel, ça change la donne.

Alors, tu attends quoi pour brancher ce vieux moniteur qui traîne ? Ou pour choper une petite promo sur un écran secondaire sympa ?

Si t’as des questions ou galères, pose-les en commentaire. Je répondrai avec plaisir.